Neallarial, le monde entre les mondes.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

 

 Elisa Jurendon

Aller en bas 
AuteurMessage
Elisa Jurendon

Elisa Jurendon


Messages : 2
Prestige : 0
Date d'inscription : 16/08/2017

Elisa Jurendon Empty
MessageSujet: Elisa Jurendon   Elisa Jurendon Icon_minitimeMer 16 Jan - 23:38

Prénom & Nom: Elisa Jurendon.

Sexe: Féminin

Age: 27

Orientation: Inconnue

Affiliation: Inconnue

Tier/Niveau de Pouvoir: Amplifié Augmenté

Alignement: Bon Chaotique

Familier: Aucun


Description de ton Pouvoir: La malédiction de l’alchimiste fou, aussi connu comme : Sangtus Cornus Ademonius. Elle peut aller extrêmement vite et fait preuve d’agilité surhumaine. Cela pendant quelques heures, grâce au liquide dans son corps. De plus, elle peut réagir très rapidement et ses sens tel la vue et l’ouïe font preuve d’une sensibilité incroyable.

Son corps est assez résistant et robuste, des coups de poing et la plupart des armes contondantes ne lui feront pas de mal et le feu ne la blesse pas. Cependant, les lames lui traversent la peau malgré tout

Elle peut contrôler la chaleur pour matérialiser des flammes tangibles. Par habitude, elle se bat avec ses poings ou avec ses 2 stylets, principalement.

Elle peut aussi condensé la température sur elle-même, créant ainsi des explosions.



Total minimum de lignes à l'histoire: 45 + 10 lignes amplifié augmenté 2 fois


Description Mentale: Elisa est une femme dont l'ouverture d'esprit est quelques peu fermé. Elle apprecie enormement les gens lorsque ces derniers ne lui font pas chier. Forte tête, il lui est difficile de faire perdre ses idées. De plus, elle agit souvent à son gré pour faire ce qu'elle croit être le bien commun. Elle va parfois utiliser de technique peu conventionnelle ou encore plutôt non accepté de la société. Son tempérament se décrit comme ceci : Si tu cours après un ourson, attends toi à courir en sens inverse lorsque la mère te voit. Et cours très vite, ou encore vole. Un ours, ça vole pas.

Certaines personnes ont voulu courir après l'ourson et disons qu'ils ont subi les griffes de la mère.


Cette comparaison n'est pas folle! Sachez qu'Elisa devient protectrice lorsqu'elle voit des enfants. Pire qu'une mère poule! C'est presque si elle demande si les enfants avaient fait leur devoir!


La raison de cette empathie surprise, elle lui vient de son histoire! Et oui, lorsque vous la lirez, vous la comprendrez alors mieux!





Description Physique: De taille moyenne pour une humaine, (5’5”) , Elisa est bien musclé et maigre. Et oui! Elle fait des exercices et s'entraîne à chaque jour. Son corps à la peau légèrement bronzé est couvert de petites cicatrices. Son visage aux traits fins est sertie de deux yeux bleus. Plusieurs marques sur son visage font traces de combat. Griffure d'une main géante, ces marques sont étrangement toujours restées d'un rouge vif. Malgré tout, ces dernières rejoignent les couleurs de ses cheveux longs et d'un roux éclatant et vif. Attaché par endroits, Elisa s'assure que sa chevelure ne lui bloque jamais la vue!


Ses vêtements sont simples, principalement des habits légers de tissu. De teintes brunes et beiges, ils dépeint l'usure et la vie de route. Des sandales spécialement faites lui épouse la forme du pied et même les orteils. Une semelle remplaçable en cuir épais lui permet de les réparer rapidement lorsque nécessaire.


Histoire:

Elisa Jurendon, né de Normand Jurendon et Estelle Jurençon, vu le jour dans le foyer d’une famille modeste. Ces parents n’étant pas pauvres n’étaient pas non plus riches. Normand, bûcheron de son métier était un fort gaillard qui du haut de ses 7 pieds ne laissait aucun présage sur sa force. Sa mère, Estelle, était boulangère, elle achetait et vivait de son pain à l’orge. Cette famille situé dans un village éloigné vivaient de leur métier. Elisa n’avait pas de soeur ni de frère, elle était enfant unique. Cependant, Oscar, le chien de la famille, réchauffait le foyer de son énergie. Aboyant à chaque passant, il laissait tomber une branche sous la porte de la cour pour que les passants lui relance. Ainsi, si il était seul, il aurait du plaisir pour toute la journée.

C’est donc dans un environnement chaleureux qu’Elisa passa les premières années de son enfance heureuse. Mais ce bonheur ne dura que quelques années. Et oui! À peine passé 5 hiver que son père fut recruté dans la milice. Un groupe de bandit surnommé “Les Pionniers jaunés” attaquait les environs! Plusieurs villages ne laissaient s’échapper qu’un nuage aussi obscure que la nuit. Présage d’atroces gestes, il ne laissait aucun doute de leur motif. Son père, entraînant les hommes du village, s’assura de laisser Elisa en sécurité. Il avait confectionné une cachette au creux d’un vieil arbre. Ainsi, elle n’aura qu’à se cacher dans un trou et placer un panneau de bois couvert de feuilles sur elle-même. Chaque matin, la voix de son père résonnait dans le silence du village, s'ensuit alors des coups d’épée en bois dont l’écho s’envolait. Après une semaine, le village sembla s’animer! Elisa depuis la fenêtre vit un homme arriver en cheval. Ce dernier était habillé de vêtement de chasseur, son front était aussi sanglant qu’une truie qui sortait de l’abattage.

Ce dernier avait échappé de justesse aux Pionniers. Ses dernières paroles en tombant du cheval furent : 2 jours… Dans 2 jours… ici!

Normand compris, il mit les pâtés double pour les préparations, faisant renforcer des murs, aiguisant des armes, coupants des arbres pour bloquer le chemin. Le village était en mouvement comme il ne l’avait jamais été. C’était leur seule chance. Évidemment, certains n’en reviendraient pas, mais il fallait gagner! Ce ne serait pas facile non plus!

Arriva le soir fatidique. Une brise sifflait alors que le ciel orangé laissant lentement place aux ombres. Au loin, une ligne de point scintillant le long d’une route approchait. Au moins autant que la moitié en homme que le village compte. Cependant, ces derniers arborent des cotes de mailles, des épée longues et des armes lourdes. Clairement mieux équipés que des fermiers et artisans éloignés. Normand donne le signal aux enfants et aux femmes de se cacher. Elisa rentre dans son arbre et s’assure de ne pouvoir être vu. De longue minutes passent, l’air est lourd et humide. Finalement, sans pouvoir bien entendre de sa cachette, Elisa entends des cris au loin.

Elle reconnait alors la voix de son père répondre, sans pouvoir comprendre ce qu’il dit.

Déchirant le silence, des cris de guerres émergent et s’ensuit alors des bruits de combat. Le choc du métal frappant, la douleur des blessés et mourant, il est évident que ce soir, le ciel se teintera de vin. Pendant presqu’une heure, on entends les combattants se déchainer. Petit à petit, le chaos se calme. Clairement, des flammes habitent maintenant des habitations et ateliers.

Elisa ouvre légèrement sa cachette. D’un seul oeil, elle aperçoit une silhouette tombé sur ses genoux en plein milieu du chemin. Le géant est reconnaissable avec la lueur des maisons en proies à l’enfer. L’humidité est disparue et une odeur de souffre s’amplifie. Devant son père, 3 hommes, habillé d’une toge jaune lève chacun une arme différente.

Le premier tient en main une hachette.


  • De la part d’Elrik! “ Dit-il en plantant son arme dans l’épaule de Normand.
  • De la part d’Okrim! “Dit le deuxièment en transperçant Normand d’une rapière.
  • Et finalement, de la part de Bruwen, fils d’Orik! “ Ce dernier dit-il fracassant le crâne avec sa masse.


Le corps de Normand trembla subitement avant de se relâcher, tombant sur le côté. Le géant du village venait de tomber. Elisa apercevait d’autres femmes et enfants se faire enlever. Des hommes, portant les mêmes toges mais plus usées transportaient de grand sacs. Clairement en train de vider le village de ses biens, c’était le dernier soir qu’Elisa vivait tranquille. Elle referma sa cachette et se mit en boule, essayant de dormir afin de passer ce douloureux moment.

Se réveillant, elle tends l’oreille, le silence règne. Lentement, elle pousse la planche qui la protège. Une brume blanche l'éblouie, le soleil ne tarde à se lever. Entre les maisons en ruines ou les corps des fermiers, elle marche dans les débris. Tout a été saccagé. Elle arrive finalement à l’entrée du village. Devant elle, attaché par de la corde pendant dans le portique le corps inerte de Normand. Attaché par les mains au portail, c’est un message. Même un géant n’arrête pas les Pionniers Jaunés. Retournant à sa maison, Elisa découvre le corps d’Oscar, la gorge tranchée. Elle le prends dans ses bras, enlaçant une carcasse dont le dernier souffle est éteint. La pluie s’abat sur son visage, le visage relevé, elle ferme les yeux et ouvre la bouche. La voix de son chagrin veut exploser, mais le vide reste. Rien ne perturbe ce moment qui impose le mutisme. Après une demi-heure à laisser échapper la peine sans vacarme, Elisa se relève et cherche sa mère. Faisant le tour, elle ne la trouve pas, elle voit plusieurs corps. Voisins et amis jonchent le sol, teintés de leur flaque sanglante.

Elisa fini par tomber sur un autre enfant. Horace. Ce dernier, âgé de 8 ans, s'était caché dans un tas de crottin. Il empeste mais au moins, il respire. Ils partent ensemble, sans familles ni rien, il ne leur sert plus de rester. Aussi en quelques sortes à la recherche de survivants. C’est au bout de 3 jours de marche, à manger des baies et boire d’un ruisseau en dormant dans les champs que les 2 aventuriers rencontre une demeure. De la cheminée s’extirpe une fumée grise, ainsi qu’un odeur étrange. Horace se remplit de courage et va cogner à la porte. Après un court instant, un homme âgé ouvre la porte et regarde le garçon. Le visage du vieil homme laisse présager bien des années, des lunettes sur son grand nez crochu, les rides peignant son front, ses cheveux blancs longeant son visage jusqu’à atteindre son torse.

Il les accueille dans sa demeure. Il se prénomme Sanson l’alchimiste. Il dit vivre en paix et faire ses recherches depuis sa jeune enfance. Il promet de les protéger, et leur permet de vivre avec lui. Cependant, il les averti! Jamais au grand jamais, il ne faut ouvrir la porte menant à la cave. Expliquant que cette dernière est hanté, il n’arrive pas à se débarrasser d’une créature qui vit en bas, mais elle ne monte jamais.

Aidant le vieil homme dans ses tâches, Elisa passent quelques années dans sa nouvelle demeure. Horace, lui, s’occupe de réparer et fait les travaux plus lourds. Maintenant âgé de 12 ans, Elisa se rappelle clairement encore de ce jour où son père a rencontré les diables. Elle s'entraîne secrètement chaque soir dans les bois. Elle pratique son agilité et cours pied nu dans les bois. Elle est maintenant habitué de marcher pied nu sans se blesser. Horace, lui arbore les traits d’un homme qui approche de l’âge adulte. Début de barbe, il su chaque jours des travaux à faire. Malgré tout, la curiosité lui pique et vient le troubler. Sanson les avait averti de ne jamais aller dans la cave, mais ce dernier y descendait chaque soir pendant de longue heure. Si une créature hantait réellement en dessous, il n’y irait pas! Alors que Sanson est parti chercher des plantes rares en forêt, Horace réussi à déverrouiller la porte menant à la cave. Descendant dans une obscurité totale, il allume une torche et regarde autour.

Elisa l’entends alors crier de forte voix et cours à l’intérieur voir ce qui se passe. Elle remarque alors la porte entrouverte et crie “Sanson?” N’ayant pas reconnue le cri d’Horace. Lentement, elle se penche vers les marches, curieuse.


  • La curiosité est un vilain défaut! Entend-elle derrière elle.


Se retournant, le visage du vieil homme exprime un mécontentement. Ce dernier exprime une sorte de formule et de sa main jaillit une poudre. Lentement, Elisa se sent lourde et tombe au sol. Après quelques secondes, elle dort, allongée sur le sol.

Se réveillant la vision trouble, Elisa aperçoit un décor qu’elle ne reconnaît pas. Autour d’elle, un laboratoire très encombré rempli la pièce. Sur des étagères, des bocaux avec des membres et des morceaux de corps dans des liquides de différentes couleurs. Sur une table, plusieurs livres sont empilés et un ouvert en plein centre. Sur une table plus loin, Elisa reconnait Horace, attaché par les jambes et les bras. À côté de lui, un tonneau suspendu plus haut que la table, un tube sortant par le dessous avec une sorte d’aiguille au bout.

Horace semble réveillé, ses yeux portant des signes de fatigue. Sa bouche est bâillonné d’un chiffon attaché derrière sa tête. Au centre de la pièce, sur une table à étagères se tient des fioles, bouteilles remplis de différents liquides ainsi que des plantes.

- Je vous avais prévenu. Vous auriez pu vivre tranquillement, mais les jeunes ont tous cette idée de chercher et de découvrir ce qui leur est interdit. Maintenant, vous allez servir de cobaye. J’ai quelques substances dont je dois vérifier les propriétés. J’ai compris qu’en mélangeant de la Rose de Léandronite et du sang d’Ange, il serait possible de remplacer le sang d’une personne, cette dernière aura les capacités décuplé. Cependant, elle devra consommer du sang d’ange, sans quoi, elle mourra au bout de plusieurs jours. Horace, vous êtes déjà installé! Merci de votre offre. Élisa, je voudrais que vous regardiez ce que mes recherches vont offrir. J’ai une expérience avec vous aussi! C’est très plaisant de voir votre camaraderie s’offrir pour un tel événement. Vous savez, être seul peut être lassant. C’est pourquoi j’apprécie énormément votre compagnie! Alors, Horace être vous prêt? … Vous semblez très silencieux? Et bien, comme les rois disent, un silence est signe de Oui. Ah, mais suis-je bête! Vous avez un tissu dans la bouche, c’est très bien d’ailleurs! Ca vous empêchera de vous mordre la langue!

Sanson se déplace alors vers le tonneau et monte quelques marches. Il y vide une fiole ainsi qu’un bol rempli d’une poudre violette. On entends alors un bruit de bouillonnement retentir du tonneau. Descendant les marches, le fou prend l’aiguille et la plante dans le bras d’Horace. Petit à petit, le tuyau se raidit alors qu’une substance en descend pour finalement rentrer dans le bras de la victime. Les veines de l’attaché commence alors à ressortir. Ses yeux deviennent d’un blanc pur et un grognement étouffé éclate. Le corps commence à trembler, d’abord légèrement, puis sauvagement.  Les minutes s’écoulent et finalement le tonneau est vide. Sanson retire alors l’aiguille et le linge de la bouche d’horace. Cette dernière est remplie de sang. Les tremblements réduisent avant de disparaître. D’un coup de bras, Horace arrache l’attache qui le retient sur la table. Le 2e bras fait la même chose, suivi des jambes. Se levant alors de la table, ce dernier se tient debout. Regardant Élisa, il laisse échapper du sang de sa bouche. Coulant à un flot monstrueux, le sang coule sur son corps sans vêtements. Dans un dernier souffle, il tombe à genoux et s’écroule finalement au sol. Il semblerait qu’Horace n’était pas prêt à un tel choc, perdant la vie.

Elisa ouvre les yeux horrifiées, elle ne sait pas quoi faire, est-ce son dernier moment? Que va-t'il se passer? Elle crie et se débat de toute ses forces. Malgré tout, ses attaches ne lâchent pas. Lentement et de manière très étrange, Sanson se penche vers elle. Il imbibe un tissu avec une bouteille. Une forte odeur remplit l’air. C’est alors qu’il l’appose sur le visage de la jeune femme. Petit à petit, elle s’étouffe et perds ses esprits. Ce n’est que peu après qu’elle retrouve ses esprits. Sanson est penché sur une table de l‘autre côté de la pièce. Il semble bien occupé et Elisa tente alors de lentement s’échapper. Il ne lui prends que quelques secondes pour se rendre compte qu’elle est encore attaché à une table. Mais cette fois-ci, c’est celle ou Horace reçu la substance. Elle tente de se tordre le poignet, mais les menottes en acier sont trop solides.

Prenant son temps, Sanson remplit le tonneau des ingrédients nécessaires. Il prends alors l’aiguille et transperce la veine dans le bras d’Elisa. Un vague de douleur frappe, comme si des flammes passaient dans son sang. Un sentiment de brûlure intense l’envahit. Son corps noirci, d’abord son bras, puis son torse. S’ensuit alors les autres extrémités. Ses yeux aussi virent d’un noir complet, il est impossible de voir le blanc de ses yeux. Le noir finit par virer à un rouge vin avant de revenir à la couleur de sa peau, cependant plus bronzé. Ses yeux reviennent à leur couleur naturels, malgré tout, un reflet de rubie peut y être observé.

Elisa pendant le changement ne peut laisser un son, elle a le souffle coupé par la douleur. Son corps irradie d’une chaleur qu’elle n’a jamais ressenti avant.

Reprenant son souffle, tout semble plus lent pour elle. Sanson laisse échapper un “Oui, avec succès! Bienvenue dans notre monde, chère Elisa, Sang des démons!”

Sang des démons? Mais qu’est ce que cela voulait dire? Était-ce cela la chaleur intense? Comment quelqu’un pourrait-il survivre à une telle bourrasque de chaleur? Qu’est-ce qu’elle en gagnait? C’est alors qu’elle sentit un liquide sur son front. Il semblait que Sanson étampait un symbole. Ce dernier laissa alors échapper une formule.

- Et Dominus Sangtus, Controlam Et Corpus Invedicar. Listem Ordus Matarie Jamal Violentus Contrar Et Matarie. Et Nominus Dominus Sangtus, Luciferam Enfantus, Sacrifirt Et Corpus. 

D’un coup, Elisa a le tourni, le reste des paroles de Sanson deviennent un murmure. Elle se retrouve alors dans le noir. Autour d’elle, le vide répète l’écho. Elle court et rien ne bouge, ses pas résonnent. Surgissant du sol, un démon se tient devant elle. D’une peau rougeâtre, un visage rempli de cicatrice, une barbe longue et touffu, des jambes de minotaures mais une tête de chèvre, il se tient debout. Il prend Elise d’une main et la soulève laissant échapper un grand souffle de ses narines.

- Tu n’es pas comme nous, mais ton odeur est semblable à la nôtre. Que fais-tu içi, jeune humaine? 
- Je ne sais même pas ce que c’est içi. Qui êtes-vous? Où suis-je?
- Tu es dans le vide de ton corps. Ton âme est prise parce que je le contrôle. Tu n’as plus aucun pouvoir. Le vieil homme, insolent m’a appelé. répondit le démon. Est-celui qui t’as fait ca? 
- Oui, je ne sais pas quoi faire… Comment puis-je reprendre mon corps?
- Tu ne peux pas. Tant que je suis la, tu ne peux rien faire. De toute façon, si tu revenais, tu ne pourrais agir que pour une ou deux journée. Ce vieux fou a raté son expérience.. Il lui manquait quelque chose.
- Que voulait-il faire?.. Qu’est ce qui lui manque?
- Il voulait avoir un humain aux forces d’un démon. Un esclave qu’il pourrait utiliser à sa volonté. Malheureusement, il n’a pas un coeur de démon frais. Si il veut que ce corps garde ses pouvoirs, il devra lui donner une mixture de sang de démon et de plantes rares à chaque jour. Sans quoi, ce corps perdra sa vitesse et sera au fil du temps figé. 
Donc, toi-même est pris dans ce corps qui va figer, n’est ce pas? N’y a-t-il pas un moyen d’échapper à cela? répondit Elisa.
- Je suis pris en quelques sortes, oui, mais non, je ne peux rien y changer.. Cependant, je peux me libérer et te laisser vivre. 
- Si je fais un pacte avec toi, me permettrais-tu de ravoir mon corps et de me permettre d’agir le temps du pacte?
- Tu te crois assez forte pour le faire? Tu est assez sotte de faire un pacte avec un démon. 
- Qu’est-ce que la sottise si je dois rester prise dans un vide?

Le démon laissa échapper un rire avant de hocher de la tête.

- Tu es plus intelligente que je pensais. D’accord. Quel est ton contrat?
- Je vais tuer ceux qui ont tué mes parents et mon village en ton nom. En échange, tu me permettra d’agir et me donneras ton sang nécessaire pour que je puisse bouger.
- Hmmm, je connais l’histoire de ton village.. Cela serait intéressant, c’est beaucoup d’hommes… J’accepte! Mais je les veux tous! Pas un seul ne peut vivre! Cela me permettra de récolter des âmes! 

D’un coup, Elisa aspira un grand coup et se retrouva dans son corps. Détaché, elle portait à nouveau ses vêtements.  Assise sur la table, Sanson lui faisait dos, cherchant un objet quelconque. Elisa prit la seringue sur la table et la détacha de son tube. silencieusement, elle s’approcha de Sanson avant de le poignarder dans la nuque à répétition. Le plaquant contre le sol, elle remarqua qu’elle agissait à une vitesse fulgurante. Sanson n’avait même pas eu le temps de réaliser ce qui se passait qu’il avait dû être poignardé plus de dix fois. Ce dernier n’eut le temps que de souffler une fois avant de laisser la vie s’échapper de son corps.

Par la suite, Elisa chercha à travers les papiers pour toutes informations, elle mit dans un sac tout ce qu’elle pouvait trouver par rapport à sa situation. Tout ce qui contenait les mots : Démon, plantes rares et rituels furent mis dans divers sacs. Elle monta le tout au rez-de-chaussé. Fouillant la maison, elle ramassa tout ce qui pourrait-lui être utile pour son voyage. Surtout que cela pourrait prendre quelques temps. Ayant de quoi survivre pendant 1 semaine, la jeune adolescente se déplaça alors de village en village. Elle avait trouvé une dague dont elle se servait pour se défendre contre toute menace. Elle aidait des villageois le long de son chemin, parfois en leur donnant un coup de main en coupant du bois, d’autres fois dans les champs. Jusque là, plusieurs étaient surpris de sa vitesse mais appréciaient grandement l’aide qu’elle leur apportait.

Au bout de 2 jours, elle se sentait ralentir. Elle n’arrivait plus à avoir la même force qu’avant. Elle appella alors le démon, qui se montra devant elle. Ce dernier lui expliqua la recette et mis un peu de son sang dans une fiole.

- Avec ce sang, tu en as pour une semaine. Ne me rappelle pas avant, mélange le tout et boit le. Tu devras en boire à chaque deux jours. 

Elisa s'affaire rapidement et mélange les plantes et le sang, elle ingurgita alors la portion et ressenti encore la chaleur dans son corps. La douleur est moins vive que lors du rituel. Elle continue alors sa route, appelant le démon à chaque semaine.

C’est à ses 15 ans qu’elle a finalement des nouvelles des Pionniers Jaunées. Ils auraient pris retraite dans un village loin au nord. Avec leur richesse, ils ont créé leur propre village et font régner leur chef comme seigneur. Ce dernier force des esclaves à travailler les champs alors que les marchands passent et vendent ou achètes aux brigands. Elisa s’était préparé en route, s’entrainant à la vitesse, la perception et plusieurs autres abilité de combats. Elle attendait ce moment, mais ne savait pas encore comment en finir. Attaquerait-elle de front? Ou demanderait-elle un duel?

Partant voir le forgeron du village, elle lui offrit un échange, elle lui ramènerait du fer, plus que nécessaire et il lui ferait des armes minces et pointus, des stilettos. Ce dernier lui dit que si une gamine pourrait lui amener assez de fer pour ne pas avoir à en acheter pendant 2 mois, il lui ferait plaisir de forger deux armes d’excellentes qualités pour elle. Elisa parti alors se renseigner, elle trouva alors la location de deux mines de fer. Allant voir le chef de la mine, cette dernière lui fit une offre. Si elle minait assez de fer en une semaine pour que ce dernier puisse avoir 1 mois de salaire, elle voudrait avoir un lot de fer.

Ce dernier éclata de rire et lui souhaita alors bonne chance. Si elle pensait pouvoir réussir, qu’elle rêve. Prenant une pioche, elle rentra dans la mine. Après quelques minutes, un vacarme rapide et puissant éclata, on aurait dit un vrombissement comme si quelque chose explosait sans arrêt. Plusieurs hommes sortirent de la mine, les premiers ne pouvant supporter le bruit.

Après quelques minutes, d’autres sortaient avec des chariots remplis de fer. Il faudrait évidemment faire le tri habituel ou le purifier. Malgré tout, c’est la première fois que le maître-minier voyait autant de chariot sortir en si peu de temps. La bouche ouverte, béante et sans mots, il comptait du doigt le nombre de chariot. Demandant à un des miniers qui venait de sortir ce qui se passait, ce dernier lui répondit qu’une gamine piochait si vite et si fort que le fer s’envolait avant de frapper le mur du fond, elle avait déjà dû changer de pioche, celle qu’elle leur avait donné était usée comme si un nain avait creusé un minerai d’obsidienne avec une pioche en bois. Au bout d’une heure, plus de 40 chariots étaient remplis et le vacarme cessa. Sortant de la mine, une jeune adolescente dont toute la surface était grise à part les yeux et la bouche sortait, sourire béant. Elle alla voir le maître-minier.

- Je te prends 2 chariots seulement, cela devrait suffir. 
- J… Comment… D’accord… S.. Si tu veux du travail, fait moi signe…
- J’y penserai, après tout, qu’est-ce qu’une gamine ferait dans une mine? Merci et bonne journée!

Vérifiant alors quels chariot elle prendrait, elle les fit mettre de côté avant d’aller se reposer. Tous ses efforts l’avait épuisé et le liquide dans ses veines semblait bouillant. Après une pause d’une demi-journée, elle se releva et prit avec elle les deux chariots, les faisant trainer par des boeufs que le maître-minier lui accorda volontier. Arrivant devant l’atelier du forgeron, elle frappa à la porte. Ce dernier ouvrit et la regarda grand sourire, levant la tête, il remarqua alors les deux chariots rempli. Son air béat et les yeux grands ouvert ne laissait aucune place à toute autres émotions. Il se frotta la tête et lui fit signe d’entrer, appelant son apprenti, il lui donna le travail de vider les chariots et de commencer à faire fondre le fer.

Sortant des plans, il indiqua alors à Elisa que forger ses armes lui prendrait 2 jours. Cette dernière se dirigea donc à l’auberge où elle s’y reposa. Louant une chambre, elle servait la bière durant les soirées et s’occupait de sortir les clients trop saoul ou cherchant le trouble. Durant la journée, elle s'entraînait en faisant des pompes et des squats ainsi que divers autres exercices de musculation. Arrivant au 3e jour voir le forgeron, elle ramassa ses stilettos. D’une couleur pâle, il était léger mais solide. Elle commença alors à les manier, de manière débutante. Elle en avait vu mais n’en avait jamais utilisé. Elle voulait apprendre et cela lui permettrait d’étendre son agilité. Elle remercia alors le forgeron et continua alors son contrat avec l’auberge. Passant ses matin et midi à s'entraîner avec ses Stilettos, elle prenait petit à petits les bonnes techniques.

Après quelques semaines, un soir, un homme dont les dents ressemblait à du fumier entra dans l’auberge. Il ne fallut qu’un instant pour qu’Elisa le reconnaisse. Il s’agissait bien évidemment d’un Jaunés. Le servant comme une tavernière, elle ne laissa rien paraître sur son visage. Ce dernier bu consommation après consommation, plus que saoul, il sorti au heures du matin, alors que le ciel commençait à s’éclaircir. C’est alors qu’Elisa sorti pour le suivre. Marchant d’un pas ferme, elle le suivait d’une dizaine de mètre de distance. Alors qu’il était rendu près de la place centrale, l’adolescente décida d’agir. S’élançant, elle planta à une vitesse surprenante la lame dans le cou du criminel. Tournant autour de lui, elle planta alors son arme une deuxième fois de l’autre côté. Elle continua alors son chemin. Aux yeux des quelques personnes présentes, l’homme saoul était pendant un instant caché par un flou au vêtement colorés avant de soudainement avoir 2 jets de sang lui sortant du cou. Le jauné tituba, quelques pas, avant de s’effondrer au sol, dans une marre de sang.

Il était le premier d’une série. Un message contre ceux qui avaient pillé et détruit. Le message fut rapidement reçu à leur village et un groupuscule se déplaça à la ville pour ramener le cadavre de leur confrère. Au cours des prochaines semaines, la tension dans la ville avait augmenté, de plus en de Jaunés victime de meurtre étaient retrouvés. C’était rendu au point ou il ne s’y rendait plus et restaient dans leur village. Elisa décida alors d’y aller. Ayant mis en pratique ses armes, elle se sentait maintenant à l’aise.

Se déplaçant durant la nuit au village, il y avait au moins 20 hommes de garde. Les Jaunés savaient que ce qui avait lieu dans la grande ville allait bientôt les rejoindres chez eux. Il ne fallut pas grand chose pour éliminer 4 gardes sans faire de bruit. Plantant ses lames dans leur gorge, elle tira les corps pour les faire tomber dans des buissons. Elle lança alors un de ses stilettos derrière la tête d’un des gardes sur une des tours, le bruit de son armure tombant sur le sol de bois sembla faire douter certains hommes. C’est alors qu’Elisa se déplaça au camp de feu au centre du village, arrivant de nul part, les hommes qui était assis firent le saut. S’ensuit alors un moment de silence, personne ne bouge, personne ne dit rien, pas sûr de ce qui se passait. Alors que l’un d’entre eux commence à crier, Elisa passe un après l’autre et leur coupe la gorge. Le village commence alors à se réveiller. Elle prend alors des bûches en flamme et les lance sur les toits avoisinants. Rapidement, des souvenirs lui remontent en tête, l’odeur, la fumée, le sang. Elle a le tourni, titube quelques secondes. Rapidement, plus de guerrier s’approche, armés jusqu’au dents. Reprenant ses esprits, Elisa les regarde tous, tournant sur elle même. Elle prend alors une bûche en flamme de sa main libre et la lance dans une direction avant de courir dans une autre.

Le rassemblement tombe au bout de seulement 30 secondes, tel une vague. Au milieu, Elisa se tient, une main au ventre, l’un d’entre eux avait réussi à lui planter une dague dans le ventre. L’écho d’une cotte de maille se fit alors entendre. Sortant de la plus grande maison, 3 hommes en sorti, 2 âgés et un plus jeune. Elle reconnut le visage des deux meurtriers, mais pas le 3e. Ces derniers se positionnent et l’inspecte.

- Il est rare pour nous d’avoir de la visite, qui es-tu jeune femme? Tu as du talent!

- Je suis ici pour venger mon père, vous avez détruit mon village, vous avez ruiné ma vie, ma jeunesse. 

- C’est si mignon, et qui était ton père? Nous avons pillé pas mal de village!

- C’était le grand bûcheron! Celui dont vous avez donné vos trois noms! Elrik, Okrim et Bruwen! Toi à la hache, tu lui à planté dans l’épaule, toi à la dague, dans le ventre, et je ne sais pas ou est le 3e!
- AAaah! C’est dommage, Bruwen est mort. Pendu, il a été attrapé. Je te présente son fils, Danduron. Nos hommes sont simples, ils sont difficiles en nombres, nous, on est plus difficiles à tuer. Approche, on va te faire un peu mal.


Ne résistant pas à l’invitation, Elisa s’élança alors contre eux, sa première cible était Elrik, elle irait dans le même ordre qu’ils ont fait avec son père. Ce dernier semblait déjà plus vite que ses sous-fifre. Au moment ou elle allait frapper, ce dernier se pencha et du coin de l’oeil, Elisa aperçu une lame s’approcher de sa jambe. Exécutant une pirouette, la lame se planta dans le sol. Si elle avait simplement bouger sur le côté, le 3e l’aurait frappé avec sa masse. Elle comprit alors, ils se battent en unisson parfaite. S’enchaina alors pendant quelques minutes des attaques de partout. Chacun tentant de percer la défense de l’autre, sans succès. C’est finalement qu’Elisa réussit à planter son stiletto dans la jambe d’Elrik, l’empêchant alors de bien se déplacer. Petit à petit, le combat tourna dans sa faveur. Elle asséna alors le coup fatal dans son épaule pour rejoindre sa carotide. Le sang gicla et se déversait de manière fulgurante. Une pluie coulait sur Elisa, alors imbibé. Elle semblait pire qu’une démone. Okrim et Danduron firent alors un pas en arrière, la volonté de continuer un peu ébranlée. Malgré tout, ces derniers secouèrent leur peur et continuent de se battre. Sans leur précieux allié, il ne fut pas grand temps au tour d’Okrim que de passer sous la lame d’Elisa.


Devant elle se tenait alors Danduron, apeuré, non sur de ce qu’il devait faire. Ce dernier commença alors à s’enfuir, tentait de sortir de leur village. Elisa prit alors une corde et lui couru après, tout en le rattrapant, elle fit un noeud de pendu. Arrivant à sa hauteur, elle le laissa tomber sur sa tête avant de freiner. Danduron ressentant la pression contre sa gorge s’arrêta et se retourna. Les yeux grands ouverts, il regardait la corde autour de son cou qui rejoignait la main d’Elisa. Elisa s’approcha alors de lui avant de lui mettre la main sur la joue, elle lui murmure à l’oreille :

- Ce sera rapide, tu n’as pas à t’inquiéter. Quels sont tes derniers mot?
- J.. Je n’ai r.. Rie…

*Clac*

Elisa était maintenant à l’autre bout de la route, la corde tendue. Danduron fit un saut par en arrière avant de s’écrouler au sol. Le cou cassé, le choc avait été direct, il n’avait pas fallu grand chose à cette vitesse. Se reposant durant la nuit, Elisa récupéra sa dague de la tour et dormi dans un arbre non loin. Le lendemain matin, elle se réveilla et passa à travers les décombres, achevant les agonisant. Alors qu’elle finit le dernier, une fumée sombre comble le sol et devant elle, le démon apparaît.

- Tu as remplis les clauses du contrat, je te laisse ton corps. Voici la dernière dose de sang que je te laisse, tu aura quelques semaines de temps avant d’en avoir besoin de plus. 
- Merci.. Que ces âmes te suivent jusque loin, qu’elles brûle et pétrisse dans leur souffrance.. Je te laisse leur avenir. 
- Ne t’inquiète pas. Des bandits comme cela me donne de la force, je ne fait que m’en nourrir. Hahaha, de ton côté, bonne route petite femme. Tu auras besoin de courage.

Disparaissant dans le sol, Elisa était maintenant seule. Elle trouva alors des chevaux et une charrette et le rempli de ce qu’elle trouvait dans les décombres. Ramassant des armures, usés, de la vaisselle, diverses ressources ou outils. Elle reparti alors vers la grande ville et vendi ce qu’elle avait trouvé. Son séjour l’amena par la suite à devenir Chasseurs de primes. Elle dû participer à des chasses de démon pour rester en vie. Ramassant leur sang et divers autres objets. Dans une maison qu’elle avait, elle fit construire une pièce secrète où elle rangeait les ingrédients nécessaires en sécurité.

Il y eu un incident suivant une attaque contre un orphelinat, Elisa eut quelques problèmes à se retenir, tuant dans le feu du moment un homme de bourgeoisie. Certains incidents semblable eurent encore lieu depuis, dès qu’un enfant avait des problèmes.

Malgré tout, elle fit du bon travail et obtint alors le surnom suivant “Chasseuse des vents”, du à sa vitesse et à la bourrasque qu’elle créait dans ses élans. Elle avait reçu aussi une célébration pour avoir participer à une grande Croisade contre un regroupement de Démon qui terrorisait un village. Plusieurs centaines d’homme s’étaient préparés au combat, n'empêche que beaucoup moins revinrent. C’était grâce à l’acharnement des soldats et miliciens et des quelques héros qui s’étaient joint qu’ils réussirent l’aventure.  Il ne restaient qu’une quarantaine à la fin, Sur les 15 héros qui avaient participés, il n’y en avait que 6 qui survécurent. Elisa y compris. Un mémorial fut créé et les noms furent inscrits dans la pierre.

Certains se rappellent de cet événement comme l’Assaut de la Foi. Le dernier espoir d’une comté contre la main de monstres sur un territoire. Elisa avait put remplir 2 tonneaux de sang de démon, elle lui en reste un actuellement.



Et derrière l'écran ? Julien

Pseudo: Ohmythunder

Âge: 25

Disponibilité: Les soirs de semaine et la fin de semaine

Un petit mot ? Ca me manquait les forums
Revenir en haut Aller en bas
 
Elisa Jurendon
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Neallarial, le monde entre les mondes. :: Vos Premiers Pas :: Présentation-
Sauter vers: