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 Le roi déchu [En cours]

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2 participants
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William Burìel

William Burìel


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Date d'inscription : 07/01/2019

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MessageSujet: Le roi déchu [En cours]   Le roi déchu [En cours] Icon_minitimeLun 14 Jan - 21:01

Prénom & Nom: Willian Geralt Rourke Burìel
Sexe: Masculin
Age:43 ans
Race: Autrefois Humain, mortel de niveau mythique
Titre: Roi-Guerrier, Seigneur & Archidiacre du pouvoir libre du peuple
Orientation: Autrefois .. mais aujourd'hui plus jamais.
Affiliation: Autrefois seigneur d'une grande nation, aujourd'hui libre éternellement
Tier/Niveau de Pouvoir: Mythique
Alignement: Loyal Neutre

Description de ton Pouvoir: Regénération avancé. Possède la regénération d'un vampire majeur.
Épée indestructible récitant une douce mélodie à celui qui la détient.
Force: Capable de soulevé un maximum de 6 tonnes ou de suite et plusieurs fois 2 tonnes avec un minimum d'effort.
Rapidité: 30 m/s soutenu. 36 m/s a son maximum [3 fois la vitesse de course de Usian Bolt] 48 m/s en sprint s'il ne fais que courir sur un terrain plat à dans le meilleurs des mondes..
Total minimum de lignes à l'histoire: Amplifié: Vitesse + 15 ligne force + 15 lignes. Épée 20 lignes + Pouvoir ressemblant a celui d'un vampire mineur, 25 lignes. Total 75 lignes.

Description Mentale: Je suis un qui fut élevé à grand coup de pied. J'eu beau avoir droit à cette satané cuillère en argent j'avais aussi droit à la lame d'acier chaque soir me couchant. J'ai été élever pour être un homme dur de caractère, mais le seul résultat qu'en ai tiré mon père c'est un visage sans émotion et une poigne de fer sur toute façon. Autrefois j'eu été un homme de coeur avec un règne de fois et de valeur. J'était l'incarnation de l'amour hélas pour la seule personne qui mon âme n'en était lourd. Visage dur et sourire juste, dans l'ombre j'était sa flamme son lustre. Celui de mon peuple aussi, une lumière qui toute haine éclaircie. Mais elle parti, m'était lourdement arrachée. Je ne l'aurai cru disparût, si la première nuit je ne m'aurai entendu hurler. Aujourd'hui je suis un homme brisé, dans un monde inconnu. Je ne suis vivant, je suis simplement abattu.

Description Physique: William est un homme d'une stature imposante, voir menaçante. 6 pieds et 4 pouce soit 193 centimètre de grand et un 290 livres de muscle ce n'est pas l'homme qui ne déplace pas d'air dans les rues. Il retourne toujours tous les regards autant dans l'ancien monde que le nouveau. Un homme grand comme un elfe et fort comme un ogre, carré comme un nain guerrier et coloré comme une flamme. Coloré ? Oui coloré, ce roi possède une chevelure de feu, ou néanmoins sa chevelure et pilosité faciale possèdent la couleur du feu. William est toujours habillée avec les habits traditionnel de son peuple; kilt et chemisier en plus de revertir une légère côte de maille qui ne semble pas lui servir plus qu'il n'y parait. Habitude vous direz ? Effectivement, ce roi-guerrier est aussi un homme du peuple. Ce qui l'a forgé fait entièrement parti de son être aujourd'hui. À sa ceinture une grande épée a deux main sur laquelle son bras est doucement déposé. L'on raconte qu'au clair de lune, l'on peu voir des lettres s'illuminées d'un clair bleu: E. L. E. A. N. O. R.

Histoire:

Mon histoire ? Elle a commencé lorsque j'étais tout petit. Non je ne parle pas de ma naissance ou avant cela. Les actes que mes parents on commis pour me mettre au monde ne les regardent qu'eux et même si c'était un mariage blanc leur histoire ne les regardent qu'eux. Non mon histoire à moi commencèrent le jours de mes 6 ans. Déjà je n'était pas un garçon comme les autres, j'étais versé dans les arts de la guerre depuis déjà un bon moment et nous devions faire un raid sur un campement ennemis dès l'aube. Nous devions sauvé un noble avec beaucoup d'influence mais peu de richesse et la mission fut un échec accompli. Mon père fou de rage me soumis au fouet. 6 ans et trois cent coup de fouet. Je me rappelle les avoir comptés, car si je perdais le compte les garde recommenceraient à zéro. Dès qu'ils eurent terminé j'eu goûté au glaive et à l'acier. Les paroles de mon père me restèrent engravée dans la mémoire. "Si ton plan est destiné à échoué, alors soit capable de prendre tout ce blâme et de frapper pour ceux qui ne le peuvent plus!"

Puis vinrent mes 8 ans. Je fis présenté à la princesse d'or et de saphir. Princesse Eleanor Iadiese Ascelina. Ce fut le premier beau jour de ma vie. Sa présence était tel un onguent sur toutes mes blessures à la fois. Je ne sais pas ce qu'elle à ressentit ce beau jour et elle ne me l'a hélas jamais raconté, mais ce fut le premier jour de notre histoire. Au départ elle devait marier un autre noble mais au vu de mon intérêt son père, lord Iadiese demanda l'accord du haut roi. Mon père ne semblait pas heureux qu'un noble de basse court essais de promettre sa fille au premier prince de la ligné Burìel. Ce fut aussi ma première rébellion envers mon paternel. Ce même soir lors du souper que Lord eu fait en notre honneur, je ne mangea point. Mon père me demanda pourquoi avais-je de si mauvaise manière ce soir et lorsque je lui répondit ce n'était que de la haine à son égard et du mépris qui sortaient de ma bouche.

- Si l'on ne peu avoir le plaisir de l'option alors j'irai avec les dires de mon estomac retourné. Je ne mangerai pas !
- Mon fils, ne fait pas honte à la maison du roi. Dit le roi d'un ton neutre.
- Ne fais pas honte ? Tu as regardé comment tu à refusé sec et avec dégoût la proposition de Lord ? Crachais-je vers son plat.

Légèrement offusqué. mon père attendit le retour au palais avant de me corriger la raison et la rébellion. La punition furent des coup de fouet tous les soirs jusqu'à ce que j'atteigne le trône. Chaque soir, lorsque les gardent finirent de me lacérer le dos, j'en rajoutais. "Bande d'incapable, vous ne savez même pas comment fouetter un môme" et chaque jours durant je m’entraînais pour être plus fort, plus résistant le soir même.

Les mois passèrent comme le passage du vent sur une plaine dévasté par la précédente armée. Les cicatrices sur mon corps devenait de plus en plus nombreuse mais jamais je ne criai ou chialai. Mon corps devenais de plus en plus robuste et les cicatrice disparaissait presque à force d’apparaître. Chaque coup par contre mon orgueil devenait plus grand et plus menaçant vint jusqu'à ce que mon père demande au garde de cesser de faire semblant de peine que je n'était qu'un enfant. Lorsqu'il répondit à mon père que depuis le début il n'avais jamais fait semblant le visage de se dernier se devint légèrement plus dur, mais il n'en dit rien. Un jour de mon orgueil je répondit au garde de ne pas s'en faire. Le règne de mon père s'approche de sa fin à chaque jour de sa vie et sa gouverne de terreur cesserai. Le garde, de peur de passer pour un complice d'un coup contre la couronne vint parler au roi direct. Ce jours là, 10 ans de vie et la douleur physique la plus intense me fit infligé. Il vint lui même me lacérer et croyez moi quand je vous dis que quand les gens on peur de lui ce n'est point pour un rien. Chaque coup de fouet sur la surface de mon dos était si vif et puissant que je croyait qu'il me couperai en deux. Les larmes montèrent en moi tellement ces coups étaient inhumainement possible, puis il ordonna de me gardé pour les 3 prochains jours sans ration et sans eau. Si je survivais à ses coups pendant ses trois jours je reprendrai le rythme normal. Malgré cette douleur intense je n'ai point chialé et j'ai tenu, tenu et encore tenu. Ensuite, chaque coup de fouet venant des gardes semblait faire du bruit mais je ne les ressentais point. Je ne leur disait plus rien, je vivais pour le jours de mes 21 ans.

Ensuite lors de mes 14 ans, un grand bal fut dans le palais de mon père. Toutes les familles noble était invité, toutes y compris la famille de Lord Iadiese. La robe que portait Eleanor ce plus beau soir de ma vie me réchauffe le cœur encore aujourd'hui. Je me rappelle avoir danser avec elle encore et encore jusqu'à ce que la musique s'arrête plusieurs fois. Mais elle ne disait jamais aucun mot, aucun son. Ses pas semblait être de petite goûte d'eau sur la surface des barreaux de mon balcon en plein jours de tempête. Si douce, si délicate. La regarder je tombais en amour chaque secondes de ma vie et je serai prêt à prendre les souffrances du monde entier pour l'instant d'une goûte de pluie à ses cotés. Vers la fin de la dernière danse je vint essayer de lui parler pour la première fois malgré que nous eûmes  passé les trois dernières heures ensemble. Elle vint déposer doucement un doigt sur mes lèvres, me regardâmes directement dans les yeux et me fit un sourire. Vous savez, ce genre de sourire qui remplace tous les mots du monde et qui aucune parole aussi poétique soit-elle ne puisse remplacer ? Bien que je croyait déjà être en amour, cet instant le monde arrêta de tourner et pour la première fois depuis longtemps je souris aussi, à elle. Son sourire redevint un visage neutre et sa tête vint se déposer sur mon torse, sa main gauche dans ma main droite, ma main gauche sur sa hanche et sa mains droite sur mon cœur, comme si sa présence était le remède qu'il me fallait. Cet instant eu duré quelque minute tout au plus mais je jurerai qu'il ai duré plusieurs décennies. Je n'ai pas à vous dire que cet instant fut ce qui réveilla ma flamme à son plus vif jusqu'à aujourd'hui, l'amour est un étrange mais puissant combustible pour toute sorte de motivation.

De retour à la réalité, mon père hautement offensé et outré, me condamna à ne plus jamais sortir de mes quartiers sauf lorsque j'irai vers les donjons.
- Tu te crois tout permis parce que tu es le roi ? Laisse moi te rappeler que tu es celui qui les a d’abord invité ..
- Silence fils !
- Content de savoir que tu me reconnais encore comme ton fils mais sache que je ne te reconnais point comme mon père. Notre dernier lien est le sang bleu qui nous sépare.
- Espère de petit infa..
- Je veux te proposer un marché Ô mon roi.
- Je, tu, quoi ?
- Si puissant et capable, j'ai quatorze ans, tu en à trente-six. À ma pleine maturité affronte moi en duel. Décide des règles de ce duel, mais pour ma part le perdant devras entièrement se soumettre à l'autre.
Le roi semblât prendre un moment pour se décidé, personne ne l'avais remis en doute depuis des années, ce serai non seulement un bon moyen pour son fils d'obéir et de rentrer dans l'ordre de sa propre majesté mais aussi prouverai à son peuple une fois de plus qu'il est invulnérable.
- Soite, mon fils. Fait ce qui te chante jusqu'à tes vingt-et-un ans. Le jour de ton anniversaire midi tapant aura lieu notre duel. Je te permet même d'invité cette jeune fille avec qui tu as dansé au bal.
- Merci Ô mon roi. Cette journée sera légendaire.
- Oui mon fils, oh oui.

Chaque jours commencèrent plus tôt que le dernier. Je prenais mon petit déjeuné à la hâte et je courrais m’entraîner. Chaque jours, heure, minutes, secondes de ma vie était un entraînement. Je portait des poids à tous les jours, je labourais les champs d'un fermier donc le cheval était malade avec bien sur un manque de force. Je piochait de la roche et frappais sur des arbres. Entrainement quotidien de mes premiers six mois. Puis vint l'hiver, je ne mangeais pas si je n'attrapais rien, je vivait dans le froid glacial de ma nation sans jamais rentrer à l’intérieur sauf pour me nettoyer. Je courrai avec les loups et parfois après ces derniers, je me battais contre un grizzli quotidiennement et étrangement ses griffes me lacérait moins que le fouet de la main de mon père. Deux fois je dû interrompre mon entraînement dû à la vilaine morsure d'un serpent. La troisième fois mon corps résista partiellement à son venin. Bien qu'encore douloureux et mes habilité bien réduite je ne rentrâmes point avant d'avoir trouver suffisamment de provisions.

Mon entraînement continua comme tel jusqu'à mes 17 ans, l'où un nouveau chevalier du roi décida de me prendre comme écuyer. Il me disait que mon corps avait déjà atteint la limite que je pouvais lui donné par acharnement et qu'il me montrerai ce qui me manque ainsi que le maniement de l'épée à deux main. J'accepta sous condition de pouvoir me retirer n'importe quand. Ce ne fut le cas, chaque jours semblait plus rigoureux que le derniers et malgré la masse que mon corps eût déjà acquis je devinrent encore plus massif. Mes bras ressemblèrent aux cuisses d'un taureau de compétition. j'était maintenant aussi grand que mon père, six pieds quatre pouces et légèrement plus imposant. Contrairement à ce dernier je ne me rasait plus, ma chevelure ainsi que ma pilosité facial était celle d'un guerrier d'antan. Un barbare comme mon père l'aurai dit. Un soir seul et loin en montagne mon gardien, chevalier m'ayant pris sous son ailes me révéla quelque chose de très important.

- Jeune Burìel. Sais-tu pourquoi je t'ai choisi ? Me posa t-il
- Non milord. M’exclamai-je
- Ô notre roi, lorsque tu t’entraînais s'entraîna aussi. Il vit dans son propre monde de terreur et je crois bien que la seule personne dont il ait peur soit son fils.
- Moi milord ? Demandai-je ahurit.
- Oui toi. Tu n'as rien de spécial, mais tu n'as jamais complètement cédé à sa volonté et je crois que cette volonté, la tienne de surcroît l’effraie. Comprend le, jeune Burìel. Ton père à gagné deux guerre par la force de ses bras avant ta naissance et juste après la tienne fais fuir un ennemis que de par sa légende. Il n'arrive plus à comprendre le peuple aujourd'hui. Tu lui fais tellement peur qu'il recommença à s'entraîner plus fort que jamais. Heureusement vous partager le même don. Votre corps est celui d'un dieu capable de surmonté ce que l'humain ne pourra jamais, mais lui possède déjà les techniques et l'expérience que la guerre lui à amené. Alors je t'amène sur un campement démon, demain à l'aube tu les fauchera tous, seul. Je regarderais et noterai tes faiblesses.
- Alors si je comprend bien milord, vous avez décidé de vous enrôler au roi pour pouvoir choisir qui sera le prochain ?
- C'est exact. Mais je ne garantie pas ta survie.
- C'est bon, demain une pluie rouge coulera sur le campement de démons.

Le jour suivant des démons mourût par dizaines. Bien sur je ne revenais jamais sans blessure et celles des démons furent profonde et difficile à soigner. C'est aussi à ce moment que j'ai remarquer que mon corps se régénérai comme la peau d'une bête mythique. Mon gardien me fit part qu'il en était de même pour mon père et que je devais me mesuré à bien plus fort que moi pour avoir une chance de le vaincre.

19 ans, fort comme un bœuf et probablement un peu plus colosse que ce dernier. Marché dans les rues du royaumes me procurai une force d'âme incroyable, et de par la réputation à mon père tous se cachait à ma vu. Aujourd'hui c'était ma fête et tant bien même me restait-il deux ans pour vaincre mon père je me dirigeais directement vers le palais pour le provoquer en duel deux ans plus tôt. La tête haute, les épaules bien droite. Ma main sur le pommeau de ma lame et je marchais calmement et d'un pas assuré vers mon destin. C'est à ce moment qu'un homme très bien habillé vint interrompre ma marche.

- Jeune roi, vous ne comptez pas affronter votre éternel paternel avec une lame rouillé n'es ce pas ?
- Malheureusement brave homme, ceci est la seule lame que je possède.
- Alors permettez moi ..

Sorti de nul par une lame d'un matériaux inconnu fut placer entre mes mains. Lourde mais balancé, aiguisée à en fendre l'air.

- Je ne pourrai accepter brave homme. Cette lame est bien trop formidable.
- Ne vous en faite pas, vous ne me devez rien. En fait le dû de cette lame est officieusement déjà payé.
- Officieusement ? Qu'es-ce que je vous devrais ensuite ?
- Vous ? Rien du tout jeune roi. Par contre un homme ma déjà offert un marché incroyable en échange de créer cette lame exceptionnelle. Il ne m'à jamais demander de lui l'a laisser par contre.
- Et pourquoi m'avoir choisi moi ?
- Vous êtes sans doute le seul homme qui puisse remplir sa part du marché si elle est entre vos mains.

Je regardais la lame ébahit par sa splendeur quelque secondes et quand je releva la tête j'était rendu devant le palais et il n'y avait personne autour de moi. Je planta mon ancienne lame prêt de la porte d'entrer avant de la défoncer d'un seul coup de bien. L'effet sur les visages des multiples gardes me fit comprendre à quel point j'était devenu un monstre. Les plus vieux devaient sans doute reconnaître la puissance d'antan de mon paternel. Je n'eu rien à dire. Il avait compris. Il prit sa lame et se dirigea vers le centre de la salle du trône. Je fit de même.

- Mon fils, les conditions seront simples. Le premier à abandonné donne sa vie envers l'autre. Qu'il en fasse ce qui lui plait. Accepte tu ? Je n'ai pas envie d'avoir à te tuer.
- Père, je vous ai déjà dit que vous pouviez choisir les conditions que vous voulez et avant de parler de tuer quelqu'un, vous devriez regarder vos pathétiques mains qui tremblent devant le monstre que je suis devenu. Vous vous faite vieux, votre place ne vous appartiens plus.
- Soite mon fils, En Garde !
- Allez Père, En Garde !

Position de duel, restant les deux pieds fixe au sol nous nous dévisageâmes de longues seconde. Il fit un pas vers moi j'en faisait deux vers lui. Il reculait de deux j'avançait d'un pas. Je ne pouvais pas lui montrer que l'affronter fut ma plus grande terreur dans ce monde de damnée. Il m'attaqua, si rapidement que je n'eu le temps de cligner des yeux le coup me frappa droit au torse et le sang gicla de partout. Heureusement que je portait une armure de plate légère. Un coup là sans armure et je crois que le combat aurai été terminé net. Le deuxième coup je puis le paré de chance ainsi que le troisième. Il était certes plus rapide et probablement aussi fort que moi pour son âge. Je ne devais pas l'attaquer de suite, mais si je continuait à parer il trouverai une faille dans mes mouvements avant même que je puisse changer de tactique. Un pas en avant deux pas en avant deux pas en arrière un pas en avant, trois as vert l'avant et attaque. Je devais brisé le rythme, l'attaquer juste avant qu'il puisse m'attaquer. Première tentative: Échec, un coup vertical vers le haut qui failli me couper le bras. Mon père avait bien remarqué depuis toujours que je me régénérai aussi. Soit il joue présentement avec moi, soit la peur l’empêche de se risquer un second coup. Deuxième tentative: nos lame de rencontre, plusieurs fois à venir. Le combat devint acharné, chaque fois il arrêtait mes coups comme s'il n'était qu'une branche qui tombe d'un arbre. Changement de tactique, je fis comme la première fois mais je ne tenais pas mon épée cette fois, lorsqu'il la para je profita de l'élan déjà accumulé et lui mis une gauche droit dans la gorge. Une trachée écrasé ne peu pas se régénéré. Elle n'est que durement épuisé. Son souffle un peu couper je repris ma lame et l'attaqua sans relâche. Mon gardien avait raison. L'âge lui donnait de l'expérience mais la mienne me donnais de l'endurance qu'il n'avais plus depuis au moins 20 ans. Doucement je parvenais à l'entailler toujours un peu plus profond, puis encore puis encore. Mes yeux étaient tels des braisent ardentes dans la nuit infini du cosmos. Mon père fut un peu pareil, nos lame s'entrechoquais avec tant de puissance qu'au lieu des étincelles habituelle parfois certaine flamme émanait de l'onde de choc que notre synergie créait. Puis je senti quelque chose de froid dans mon torse brûlant. Quelque millimètre du cœur sa lame de transperçait et m'avais couper une artère. Une fois que je leva mes yeux, je vis ma lame à travers son estomac, je puisa à travers toutes les forces me restant et à deux mains je leva ma lame jusqu'à sa gorge. Ensuite mon père tomba sur le dos respirant encore en se noyant doucement dans son sang. Je tomba assit avec des plais qui se refermais bien plus rapidement que d'habitude puis j'alla vers le corps de mon père en rampant. Ce que j'ai fait une fois à ses cotés ? Si vous n'avez pas le cœur sensibles alors oui, vous pouvez savoir.

Soupir agonisant:

Voila mon père était mort. Quelqu'un cria " Que vive longtemps Ô notre nouveau roi ! " Puis la foule cria de joie malgré qu'il existait encore beaucoup de regard incertain. Effectivement moi aussi j'aurai eu un peu peur. Après un tel spectacle, était-ce l'échange d'un tyran pour un autre ? Seul le temps leur dira. Pour l'instant il était clair que le règne de peur de Rourke Burìel était terminé.

Vinrent mes 24 ans. Le royaumes se portait à son mieux et la joie régnait à travers mon peuple. Je fit tellement occupé que je pu retourné voir ma douce princesse, mois tout viens à point à qui sait attendre. Dans deux jours j'organisait un bal et tous les nobles des royaumes environnant rêvait de rencontrer qui était cet homme. Qui avait tuer le seigneur invulnérable de la guerre d'antan de ses propres mains. Bien que les nouvelles avaient voyagé durant ces dernières années, pour le temps que ce eu pris de défaire la misère de mon père le royaume et ses abords étaient complètement fermé à l'étranger.

J'ai 25 ans, tous les nobles et les dirigeants des pays voisins arrivent sous peu. Les rumeurs furent confirmé de ma présence sur le trône il y à déjà un bon moment mais hélas détruire les misères de mon paternel fut d'une durée qui semblât une éternité. J'ai revu ma princesse deux fois je crois et très brièvement. Cela m'eu peiné incroyablement de ne pouvoir partager plus de quelque minute avec Eleanor, minutes que je chérissais incroyablement et même si je ne le laissait paraître. Revenons au conclave, car oui les nobles n'étaient pas simplement invité pour une charcuterie et une chasse royale. Je vais vous couper le charabia du sang bleu aussi court que possible. Après maint obstinations pour déclarer le prochain Grand Roi seigneur Iadiese, qui fut sans doute le seul noble [pour maintes raisons personnelles] en entière collaboration avec moi proposa que je démontre la totalité puissance. Ce fut simple, rapidité: Je courra autour du palais avec différent membre de la garde personnel de chacun des lords. Force, je souleva un rocher de plus de 1800 lbs. Connaissance: Je récita les poèmes royaux de chacune des générations avant la mienne, la guerre d'antan et nomma chacune des lois de chacun des royaumes, domaines et tribus voisines. Je donna mon point de vue et mes connaissances sur nos ennemis de toujours, les démons, pour prouvé ma force stratégique. Finalement pour démontré mon humanité et mon amour du peuple, L'un des roi voisin, celui avec la plus grande force militaire pour mon humble, mais certainement sarcastique plaisir, me demanda de choisir épouse et de donner au moins 10 raisons valables sous la forme que je désirerai d'expliquer mon amour pour cette même personne. Je vous laisse deviner qui fut mon heureuse élue.





Et derrière l'écran ?
Pseudo: Sarah
Âge: 19
Disponibilité: Discutable
Un petit mot ? Fa. Fa c'est un mot de deux lettre aussi mieux connu comme la 4ieme hauteur en musique. Do ré mi fa. Donc a votre demande d'un petit mot, je répond: Fa
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Aüra Fæ
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Aüra Fæ


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MessageSujet: Re: Le roi déchu [En cours]   Le roi déchu [En cours] Icon_minitimeMar 22 Jan - 19:08

Wow Smile Très belle histoire !

Pour tes pouvoirs, je n'ai aucun inconvénient à la puissance que tu t'impose. Mais pour ta rapidité et ta force j'aimerai que tu doubles le nombres de lignes (Au vu de ta présente histoire il ne t'en manquera pas, c'est simplement pour les futurs membres, j'aimerai évité l'abus)
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William Burìel

William Burìel


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MessageSujet: Re: Le roi déchu [En cours]   Le roi déchu [En cours] Icon_minitimeMer 30 Jan - 19:05

D'accord, aucun problème Smile Désolée je ne peu pas continuer mon histoire pour quelques jours je suis en vacances et je profite Smile

À Bientôt !
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MessageSujet: Re: Le roi déchu [En cours]   Le roi déchu [En cours] Icon_minitime

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